Sortie d'un premier roman, Le Pyromane, à la rentrée littéraire 2013 chez l'Age d'Homme

samedi

A propos de Olympus In Reverse

"Plus dur, (beaucoup) plus triste, il se consommera plus volontiers dans l'intimité d'une chambre, compagnon de route vers lequel on sait que l'on reviendra certes ponctuellement, mais pendant longtemps. Déplaire aussi est un art, et avec ce bel album de gueule de bois on peut considérer que Violin sait y faire. Olympus in Reverse n'est pas un disque dont on a envie - c'est un disque dont on a besoin." (lire l'article du Golb)

"Sous des airs faussement guillerets, on a confirmaton, sur le papier (à musique) qu'on est pas seul à trouver que notre époque pue. (...) Même dans les meilleurs moments, il y a un truc qui déconne quand même, et le bonheur de se faire de plus en plus illusoire. Après l'épiphanie spirituelle et sentimentale de Welfare Heart, ça fait sévèrement mal. Olympus in Reverse, en effet. Downfall from Olympus. Zeus Got a Huge Hangover." (lire l'article de Guic')

"Peut-être qu’il se rapproche de ses premiers albums, peut-être qu’il évolue en dents de scie de plus en plus pointues, une seule chose est sûre, il n’en fait qu’à sa tête en dehors de tout format de l’industrie musicale. Il n’y a que deux types de groupe qui peuvent se permettre d’avancer sans se préoccuper du monde extérieur : les intouchables qui n’ont déjà plus rien à prouver et les inconnus sur qui les regards ne se posent de toute manière jamais. Etrangement Viol appartient à ces deux catégories." (lire l'article de Benjamin F)

"Il se fait clairement plus décontracté que par le passé, libéré, sa manière à lui de nous dire "Je vous emmerde" ? On ne trouve pas ce romantisme naif, cet amour exalté, ces sentiments à fleur de peau que l'on trouve dans la littérature du 19ème siècle et dans ces derniers disques, mais de la douceur quand même au milieu des ténèbres ambiantes, I'm gonna marry you annonce-t-il tout de même à sa belle, ce n'est pas rien. Elle est la seule personne qu'il sauvera de l'apocalypse du haut de son Olympe." (lire l'article du Bal des Vauriens)