Sortie d'un premier roman, Le Pyromane, à la rentrée littéraire 2013 chez l'Age d'Homme

mardi

A propos de Welfare Heart

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"[Welfare Heart] est beaucoup plus varié, aussi bien musicalement que dans les émotions, tout en conservant une qualité constante. Je pourrais bien essayer de lister mes chansons préférées, mais elles changent tout le temps [...] S'il fallait résumer les choses, je dirais que Love Boat représente l'obsession, et Welfare Heart, la multitude." (lire l'article de 115th Dream)

"Nous sommes en 2010, l'humanité continue sa marche en avant, certains creusent, d'autres s'enfoncent et Ernesto Violin enregistre encore et toujours. De lui je ne connais que sa musique, intense de haine et d'amour, je ne sais absolument pas qui il est. Peut être regarde-t-il Plus belle la vie le soir en mangeant des nouilles, mais j'aime à l'imaginer trainant dans les rues inconnues de la capitale, rentrant dans son 9m², retirant son couvre chef pour se passer un disque de Townes Van Zandt ou lire des trucs écrit par des écrivains qui n'ont pas vu le 20ème siècle. Un garçon tellement en décalage avec son temps qu'il n'a même pas pensé à vendre sa musique, alors que c'est la préoccupation première de tout groupe, avant même d'enregistrer quelque chose de présentable."
(lire l'article du Bal des vauriens)

"Comme souvent avec VIOL, l'ensemble donne parfois l'impression d'être évadé aussi bien d'un autre temps que d'un autre monde. C'est peut-être ce qui explique qu'arrivé la fin, on n'ait pas envie d'en sortir et qu'on s'empresse d'appuyer sur replay (ou de se refaire les albums d'avant). Il faut dire que ce monde là, de prime abord, semble bien plus sympathique que le nôtre. Les copines des moines ne se moquent même pas de leurs tonsures (déjà, les moines ont des copines), on passe la journée à attendre que le soleil se couche et l'amour est quasiment indestructible (ce qui ne l'empêche certes pas d'être tranchant). Surtout, le talent y est reconnu à sa juste valeur, ce qui ne risque pas d'arriver dans notre monde à nous. Dans lequel un jeune homme brillant peut, pour la troisième année consécutive, nous offrir un très bel album gratuitement, et sans rien attendre en retour."
(lire l'article du Golb)

"En quelques disques à peine, Ernesto a réussi à s'imposer avec un son et un style reconnaissables entre mille. N'est-ce pas là l'apanage des grands ? Je pense que si et il serait vraiment dommage de passer à côté de son millésime 2010, car Ernesto est comme le vin de Bordeaux, il se bonifie avec le temps." (lire l'article d'I Love Rock'n'Roll)

"On pouvait s'attendre à ce que le successeur de Love Boat soit bon. Il l'est. Par contre je m'attendais pas forcément à ce qu'autant de chansons de cet album, disséminées de-ci de-la, refusent finalement à quitter mon esprit, et restent en permanence ancrées, sinon dans mes oreilles, du moins dans ma tête [...] Ernesto Violin nous régale une fois de plus (et avec quelle réactivité ! Love Boat est sorti, je vous le rappelle, il y a à peine 10 mois!) d'un album délicat et fort agréable à écouter: une quinzaine d'écoutes en un peu plus d'une semaine quand même, et plus du double pour certains titres!)" (lire l'article de Laisseriez-vous votre fille coucher avec Rock-Addict)

"Découvrir Viol, ce serait comme avoir un coup de foudre esthétique pour cette jeune femme qu’un ami vient de vous présenter comme sa sœur, avant que ce dernier ne vous tape amicalement dans le dos en vous disant que c’est la moins charmante de sa famille et qu’il a encore trois autres femmes à vous présenter, plus splendides les unes que les autres. Vous avez du mal à y croire et vous vous empressez de colporter la rumeur." (lire l'article de Playlist Society)

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